Le parking était presque vide. Quelques lampadaires mal réglés, un fond d’asphalte humide, et ce calme un peu sale des endroits oubliés. Lei Fang s’était arrêtée là. Sans raison précise. Juste l’envie. Elle tenait le sexe fermement, le ramenait vers elle, main gantée, gestes mesurés. C’était tranquille. Et c’était pour elle.
Elle commença par le lécher. Longs mouvements, réguliers, précis. La langue glissait le long de la tige, repassait sur le bord du gland, redescendait lentement. Elle s’appliquait. Puis elle ouvrit un peu plus la bouche et le prit. Pas profondément, mais avec justesse. Elle suçait lentement, concentrée, posée, dans son propre rythme.
Le jet arriva d’un coup. Chaud, salé, direct. Une partie dans sa bouche, l’autre sur sa lèvre. Elle avala. Ne recula pas. Juste un soupir discret. Elle resta là quelques secondes, sans parler, le sexe encore en main. Puis elle inspira doucement. C’était simple. Mais ça suffisait.
The parking lot was nearly empty. A few flickering lamps, damp asphalt, and the dirty quiet of forgotten spaces. Lei Fang had stopped there. No clear reason. Just the urge. She held the cock firmly, brought it close, gloved hand steady, every movement controlled. It was quiet. And it was for her.
She started by licking it. Long, even strokes. Her tongue slid up the shaft, circled the tip, then ran back down slowly. She was focused. Then she opened her mouth a bit more and took it in. Not deep—but deliberately. She sucked slowly, steady, within her own rhythm.
The cum hit fast. Warm, salty, direct. Some in her mouth, the rest on her lip. She swallowed. Didn’t pull back. Just a quiet breath. She stayed still for a few seconds, cock still in hand. Then she inhaled gently. It was simple. But it was enough.