Elle ne savait même pas leurs prénoms. Ils étaient sortis du chantier en rigolant, et maintenant ils étaient là. L’un à gauche, l’autre à droite. Deux sexes dressés, couverts de poussière tiède, tendus vers son visage. Honoka s’était penchée légèrement. Juste ce qu’il fallait.
Sa langue sortit en premier. Elle lécha un gland, puis l’autre, sans les tenir. Elle sentait chaque veine sous le bout humide. Elle laissa un filet de salive glisser, puis ouvrit plus grand. Un à la fois. Elle les prit en bouche, brièvement, lentement, sans rythme. Juste le contact. Le poids. L’odeur. Sa main gauche massait les testicules du premier. L’autre reposait sur sa propre clavicule. Elle restait droite.
Quand les deux giclèrent, elle ne bougea pas. Le foutre coula entre ses lèvres, sur sa langue tendue, une goutte atterrit sur le menton. Elle respira. Profond. Le goût était brutal. Ferme. Étrange. Puis elle releva les yeux. Et sourit. Juste ce qu’il fallait.
She didn’t even know their names. They’d come from the construction site, laughing, and now they stood there. One on the left, one on the right. Two hard cocks, warm with dust, aimed at her face. Honoka leaned in slightly. Just enough.
Her tongue came first. She licked one tip, then the other, without touching them. She felt every vein at the edge. A thin string of saliva fell, and then she opened wider. One at a time. She took them into her mouth—briefly, slowly, without rhythm. Just the contact. The weight. The smell. Her left hand cupped one man’s balls. The other rested against her own collarbone. She stayed upright.
When both came, she didn’t move. Cum spilled over her lips, onto her tongue, one drop landing on her chin. She breathed in. Deep. The taste was harsh. Dense. Strange. Then she lifted her eyes. And smiled. Just enough.