Le sol était sec, les gradins déserts. Honoka et Marie-Rose restaient droites, bras croisés en V, doigts frôlés comme un pacte. Chacune tenait un sexe tendu dans l’autre main : Honoka vers son menton, Marie-Rose vers sa tempe. Elles souriaient. Rien ne bougeait, sauf les deux verges qu’elles sentaient palpiter dans leurs paumes. Et leurs yeux, pleins d’un défi silencieux.
Ça tremblait un peu. Elles n’étaient pas sûres, ni pressées. Mais à force de se regarder, l’une éclata de rire. L’autre suivit. Et dans ce rire, leurs mains se mirent à bouger plus vite. Plus fort. Elles branlaient maintenant pour de vrai, toujours dans cette posture parfaite, bras levés, verges tendues. C’était absurde. C’était très drôle. Et elles continuaient.
Le sperme jaillit presque en même temps. Un jet sur la joue de Marie-Rose, l’autre sur le haut du buste d’Honoka. Le foutre se posa sans violence, comme une signature chaude et vivante. Elles ne bougèrent pas. Leurs bras étaient toujours croisés, leurs bouches encore entrouvertes. Complices. Éclaboussées. Alignées.
The ground was dry, the arena empty. Honoka and Marie-Rose stood still, arms crossed in a shared V, fingertips brushing like a pact. Each held a hard cock in her free hand: Honoka's aimed at her chin, Marie-Rose's toward her temple. They smiled. Nothing moved—except the pulsing cocks they gripped, and their eyes, locked in a quiet challenge.
It started to shake. They weren’t sure. Not rushing. But after one look too many, one of them burst out laughing. The other followed. And in that laugh, their hands moved faster. Stronger. They were jerking now, fully, still holding that V, still perfectly posed. It was absurd. It was hilarious. And they didn’t stop.
The cum hit almost together. One spurt across Marie-Rose’s cheek, the other on Honoka’s upper chest. The semen landed gently—warm, thick, precise. They didn’t flinch. Their arms remained crossed, mouths still slightly open. Complicit. Splashed. Aligned.