Le dojo est vide, éclairé par les lanternes et l’odeur d’encens. Noël ici n’a rien de festif. Juste du silence et des coussins déplacés. Marie-Rose a été invitée sans explication, avec la promesse d’un “cadeau”. Quand l’homme nu est entré, elle ne s’est pas levée. Elle l’a observé, droite, curieuse. Puis elle s’est penchée, un peu, comme si elle cherchait à comprendre ce qu’on attendait d’elle.
Elle n’a rien touché. Juste approché son visage. Sa langue est sortie, sans raison apparente. Elle n’a frôlé que l’air, mais sa présence a suffi. Le sexe est resté près, tendu. Elle a inspiré doucement, observé chaque détail, chaque pulsation. Ce n’était ni une provocation, ni un jeu — juste une approche, attentive, presque animale.
Puis c’est arrivé. Une décharge, brusque. Le sperme a jailli près de sa bouche. Elle n’a pas bougé. Une goutte sur sa langue, d’autres sur ses lèvres. Elle a senti, goûté, sans en décider. C’était chaud, étrange, fort. Elle n’a rien dit. Juste ce regard fixe, troublé. Elle ne sait pas ce que ça signifie. Mais elle sait qu’elle n’a pas reculé.
The dojo is empty, lit by lanterns and incense. There's no festive mood—just silence and scattered cushions. Marie-Rose was invited without explanation, with the promise of a “gift.” When the naked man entered, she didn’t stand. She watched him, upright, curious. Then she leaned in, slightly, as if trying to understand what was expected of her.
She didn’t touch. Just brought her face close. Her tongue slipped out, with no clear intent. It met only air, but that was enough. The cock stayed close, tense. She breathed in slowly, noting every detail, every twitch. It wasn’t provocation or play—just an approach, careful, almost instinctive.
Then it happened. A sudden release. Cum shot out near her mouth. She didn’t flinch. A drop on her tongue, others on her lips. She felt it, tasted it, without choosing to. It was warm, strange, strong. She said nothing. Just that steady gaze, unsettled. She didn’t understand—but she hadn’t stepped back.