Offrande au silence / Offering to the Silence

Image 40 - Marie-Rose sous la neige, bouche offerte, tenue sombre

Le froid sec mordait à travers le corset, mais Marie-Rose ne bougeait pas. Elle gardait les deux sexes bien droits, à hauteur de son visage, comme une petite cérémonie intime dans ce bois figé par l’hiver. Son souffle dessinait des volutes dans l’air glacé. Aucun mot. Juste ce ciel pâle au-dessus d’elle, et les oiseaux qui s’étaient tus. Tout sonnait creux, comme si le monde retenait sa respiration.

Elle ouvrit la bouche, lentement. Un petit mouvement de langue, plus rituel qu’excité. Ce n’était pas de l’envie — c’était un besoin silencieux, une offrande acceptée. Elle pencha un peu la tête, joua avec les pointes, sentant déjà quelques gouttes chaudes tomber sur sa joue rosie par le froid. Ses cils clignèrent, surprise du contraste brutal entre la chaleur des jets et la morsure de l’air.

Le sperme jaillit, lourd et dense, en même temps des deux côtés. Il s’écrasa sur son visage sans violence, mais avec poids. Il coulait sur ses lèvres entrouvertes, sur son menton, traçant des lignes blanches sur le tissu noir de sa tenue. Elle n’essuya rien. Elle regarda les arbres, les doigts toujours crispés sur les deux tiges devenues molles. Comme si elle avait voulu souiller le silence lui-même.

The dry cold bit through her corset, but Marie-Rose didn’t move. She held both cocks upright, close to her face, like a quiet little ritual in the winter-frozen woods. Her breath drew pale spirals in the icy air. No words. Just the pale sky above her, and birds long silent. Everything felt hollow, like the world was holding its breath.

She opened her mouth slowly. A soft lick, more ceremonial than eager. This wasn’t lust — it was a silent need, an offering accepted. She tilted her head slightly, teased the tips, already feeling drops of warmth land on her cheek, reddened by the cold. Her lashes fluttered, startled by the brutal contrast between hot jets and freezing air.

The cum burst out, thick and heavy, both at once. It hit her face without violence, but with weight. It streamed over her parted lips and down her chin, tracing white paths over the black fabric of her dress. She didn’t wipe it away. She looked at the trees, fingers still clenched around the now-soft shafts. As if she’d wanted to defile the silence itself.

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